About

Mon portrait, peint par Roberta Faulhaber (Huile) – 1998 -, ma très regrettée épouse disparue en 2018. Que la grâce de Dieu soit toujours avec elle !

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                                      A PROPOS DU FONDATEUR DE « LABODIPLO »

                                                 http://www.labodiplo.wordpress.com

Jean-Pierre Razafy-Andriamihaingo (dit JPRA ou Jipiera pour son nom d’artiste-peintre), de nationalités malgache et française, est :

1- historien,

2- avocat honoraire au Barreau de Paris,

3- ancien président de deux organisations internationales intergouvernementales (Commission Internationale des Industries Agro-Alimentaires, Organisation Africaine et Malgache du Café) ,

4- ancien ambassadeur de Madagascar auprès de plusieurs pays (principalement : France, Royaume-Uni, Italie, Espagne, Portugal, Turquie, Monaco, Israël, Grèce, Roumanie), près le Saint-Siège (Vatican) et auprès de différentes organisations internationales intergouvernementales (principalement : Organisation Internationale de la Francophonie, Food and Agriculture Organization – FAO -, Organisation Mondiale du Tourisme, Organisation Maritime Internationale,  Bureau International des Expositions, Organisation Internationale du Cacao, Sommets Afrique-Europe),

5- expert international en matière de Bonne Gouvernance et de Promotion de la démocratie,

6- et actuel Président-Fondateur du Groupe « Action pour la Bonne Gouvernance » – « ABG » – ,

7- membre de la Convention de la Fondation Charles-de-Gaulle,

8- Président de la Délégation de Madagascar et Membre du Conseil d’administration de La Renaissance Française (organisme académique reconnu d’utilité publique fondé en 1915 par Raymond Poincaré, Président de la République française),

9- membre de La Courtoisie Française (Ordre oeuvrant pour la civilité et l’altérité).

Il est très attaché à ses origines mais « citoyen du monde » vivant pleinement l’inter-culturalité. A ce titre, il est également :

10 – orientaliste,  peintre (sous son nom d’artiste « Jipiera »);

11 – professeur d’Aïkido (5ème dan de la Fundamental Aïkido Association – Ecole de Maître Saïto Morihiro; 3ème dan Aïkikai;

12 – membre du Collège national des ceintures noires de France);

13 – ancien responsable fédéral de la première Fédération nationale française d’Aïkido (membre élu du Comité Directeur de l’Union Nationale d’Aïkido de France, président de sa commission juridique – 1980-83);

14 – ancien Conseiller juridique de la Fédération Européenne d’Aïkido;

15 – ancien enseignant universitaire et conférencier en « Droit & Stratégie des affaires en Chine et au Japon » (universités du Havre, de Dunkerque, de Lille et de la Rochelle + écoles de commerce, dont le Groupe ESSEC + de province).

2002, Salon des Ambassadeurs du Palais de l’Elysée. Lors de la présentation de mes Lettres de créance au Président Jacques Chirac. Jacques Chirac, un homme dont l’élégance et la largesse d’esprit étaient si agréables au contact, qui aimait Madagascar et dont j’avais grand plaisir à y organiser ses voyages privé en mars et officiel en juillet 2005…    

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2004, Palais Apostolique du Vatican. Entrée protocolaire. Ici, je suis accompagné par un gentilhomme de la cour papale. Tant ma catholicité que le fort engagement public de mon père dans cette croyance à Madagascar et dans le monde, et d’avoir été son lointain successeur (lui, de 1960 à 1965) dans la haute représentation de Madagascar près le Saint-Siège m’animaient d’une ferveur particulière dans l’accomplissement de ma mission diplomatique auprès des souverains pontifes Jean-Paul II et Benoît XVI.  

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2002. Salutation au Pape Jean-Paul II au Palais Apostolique du Vatican (au centre, le Cardinal Sodano, Secrétaire d’Etat). La forte personnalité de Jean-Paul II m’avait impressionné et il m’avait particulièrement ému par les mots par lesquels, en réponse à mon discours de présentation de mes Lettres de créance auprès de lui, il avait salué en ma petite personne le successeur de mon propre père qui, lui, avait été accrédité au début des années 60 auprès du Pape Jean XXIII (voir photo ci-dessous). 

Mon père, Pierre Razafy-Andriamihaingo, salue le Pape Jean XXIII lors des cérémonies d’ouverture du Concile Vatican II. Basilique Saint-Pierre, 1963. 

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2006. Salutation au Pape Benoît XVI au Palais Apostolique du Vatican. Ici, le regard bienveillant et chaleureux du Pape Benoît XVI en dit beaucoup sur sa personnalité si attachante, un homme d’une très grande érudition, qui en 2008 alors que je n’étais plus accrédité auprès de lui mais près le Quirinal, m’avait reçu en audience privée lors de laquelle il m’avait demandé d’organiser sa visite à Madagascar, finalement annulée pour cause de coup d’Etat à Madagascar en 2009… 

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2003. Présentation des Lettres de créance au Roi Juan Carlos 1er d’Espagne. Palais royal de Madrid. L’héritier direct des Bourbons qu’il est parle un français impeccable et son amabilité n’a d’égale que élégance d’esprit alliée à une culture si étendue qu’il parlait de Madagascar, l' »île lointaine mais recelant maintes richesses », en connaisseur averti…et notre entretien qui était prévu pour n’être que formel s’est vite transformé en une agréable conversation qui dura plus que ne prévoyait le protocole strict du palais royal, à telle enseigne que le chef du Protocole dut rappeler discrètement au Roi qu’il était temps d’abréger notre entretien afin qu’il aille à d’autres obligations protocolaires…!

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2006. Audience privée accordée par le Prince Albert II de Monaco au palais princier de Monte-Carlo. D’un abord simple, chaleureux et par conséquent tellement agréable, le grand sportif qu’est le Prince n’a pas pu s’empêcher de me conter son beau périple au large de Madagascar à bord de son voilier… 

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2008, Palais du Quirinal à Rome. Présentation des Lettres de créance au Président de la République italienne, Giorgio Napolitano, au Palais du Quirinal. J’ai une particulière admiration pour cet homme profondément démocrate et qui, malgré les fréquents tumultes et soubresauts de la vie politique italienne, a toujours su maintenir le cap démocratique et l’imposer à tous.

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2008. Audience privée avec le Pape Benoît XVI au Palais Apostolique du Vatican. Je renvoie à mon petit commentaire ci-dessus s’agissant de ce souverain pontife que je tiens en affection.
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« …à la croisée des regards se trouve le chemin des hommes… ». Photo Anne de Cellès . 2019.
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Mon portrait en Sage chinois – quel honneur ! – , pastel de mon excellente amie Ying Xu. Merci chaleureusement à elle ! – 2020 

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A travers « Labodiplo »  Jean-Pierre Razafy-Andriamihaingo veut partager, avec ses compatriotes malgaches et français, mais aussi avec ses amis étrangers, ses expériences à l’international pour une meilleure compréhension des réalités vécues.

Car pour lui, la rencontre des cultures, la considération réciproque, le partage des valeurs, le respect des différences et la compréhension mutuelle sont les préalables nécessaires à un véritable dialogue entre les hommes, et par conséquent entre les nations.

Professeur d’Aïkido, « La voie du sabre sans le sabre » (selon la formule du Fondateur de l’Aïkido, Morihei Ueshiba). Ici, lors d’un de mes cours dans le Parc de la Cité Internationale Universitaire de Paris. 1982.

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• • Ses décorations et distinctions : Grand’Croix de l’Ordre de Saint-Grégoire le Grand (Saint-Siège), Grand Officier de l’Ordre national du Mérite (France), double-Médaillé du Barreau de Paris, Médaillé d’or de La Renaissance Française, Médaillé d’or de La Courtoisie Française. Officier de l’Ordre de La Fayette.

Grand’Croix de l’Ordre de Saint-Grégoire le Grand (Saint-Siège). Cette dignité m’est accordée par le Pape Benoît XVI le 29 juin 2005, et, au nom de Sa Sainteté le Pape, les insignes me sont remis un mois après par le Nonce Apostolique accrédité en France.

Grand Officier de l’Ordre du Mérite (France). Cette dignité m’est accordée à la fin de ma mission en France début 2008 avant de gagner mon nouveau poste près le Quirinal à Rome, et, au nom du Président de la République française,  les insignes me sont remis le 17 novembre 2008 par l’Ambassadeur de France près le Quirinal, Monsieur de La Sablière, lors d’une cérémonie, en la présence d’ambassadeurs africains et d’autres personnalités du monde diplomatique, organisée au Palais Farnese à Rome.

Médaille d’Or du Mérite Francophone de La Renaissance Française. Cette distinction m’est accordée en 2006.

23 octobre 2012, dans les salons de l’Ordre des Avocats au Barreau de Paris. Je suis en compagnie de Madame le Bâtonnier Féral-Schuhl, qui vient de me remettre la Médaille du Barreau de Paris. 

Mes médailles du Barreau de Paris (1988, remise par M. le Bâtonnier Philippe Lafarge au titre de mes activités comme professeur d’Aïkido et de responsable fédéral ; 2012, remise par Mme. le Bâtonnier Féral-Schul comme Avocat honoraire).

Ici, je saisis l’occasion pour évoquer ma reconnaissance infinie pour la profession d’avocat, car c’est bien grâce à l’avocature que m’ont été ouverts et continuent de s’ouvrir à moi les différents cheminements que j’ai empruntés et que je continue d’emprunter dans cette recherche d’humanité qui me tient tant à coeur. 

 

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Médaille d’or de La Courtoisie Française, distinction qui m’a été décernée et remise le 20 janvier 2018 à Paris par la Présidente de cette institution créée sous la forme d’un Ordre en 1948.

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Médaille d’Officier de l’Ordre de La Fayette – Cette distinction m’est remise le 26/9/2019 par le Président de l’Ordre de la Fayette (dont la devise est « Vivre pour servir » en la double référence à la Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789 et de la Constitution des Etats-Unis d’Amérique du 4 juillet 1776).
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Etant sensible à la force de certains mots et de certaines expressions, mes formules préférées sont celles :

. du Général de Gaulle qui disait: « le patriotisme, c’est l’amour de son pays; le nationalisme, c’est détester celui des autres« . Il y ajoute la nuance suivante : le nationalisme, c’est l’égoïsme national, au nom duquel tout éventuellement, même l’ignoble, est permis;

. de Henri Bergson: « Il faut agir en homme de pensée et penser en homme d’action« ;

. de Socrate : « Je ne suis ni Athénien, ni Grec, mais un citoyen du monde« ;

. d’André Malraux qui disait à peu près ceci : «  La culture c’est ce qui reste quand on a tout oublié…« . Il fut un homme de grande expérience de la vie, une haute conscience en quête de spiritualité;

. de mon très regretté père qui, dans son humour souvent si pénétrant nous disait, nous ses enfants :  » Savez-vous comment on reconnaît un imbécile ? C’est celui qui, quand on pointe le doigt dans une direction sans rien dire, regarde le doigt au lieu de regarder vers l’horizon pointé…!

. de ma petite personne :  » L’intelligence et la connerie de l’Homme sont les choses les mieux partagées dans ce bas monde ; l’une le fait et l’autre le défait, ce dans un mécanisme dialectique permanent … ». On pourrait parfaitement ajouter ce slogan en forme de devise partagé à l’unanimité, en choeur et spontanément par tous les hommes – peut-être pas par les femmes …- :  « Conneries ?…Toujours et encore …!!! ». Ce qui rejoint une forte formule de Jean Gabin qui disait à peu près ceci :  » Quand un con sera mis en orbite, il ne cessera jamais de tourner autour de la Terre…! ». 

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Prince Andriandranando , XVIème siècle. Par Jean-Pierre Razafy-Andriamihaingo (Pastel) – JPRA – 1997 –

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             A PROPOS DU PRINCE ANDRIANDRANANDO, MON GRAND-ANCÊTRE

Ce prince de la Renaissance Merina à la jointure des XVIème et XVIIème siècles, qui volontairement avait renoncé à régner à la suite de son père Andriamamilazabe, pour apporter volontairement sa contribution et les territoires de sa souveraineté (territoires délimités par Vohidrazana, Vodivato et Ambatomanitrasina) à son cousin le roi Andriamanelo (dont il a épousé la soeur aînée), qui fut le premier à importer sur les hauts-plateaux malgaches et à utiliser sur les champs de bataille le fusil et le canon, stratège hors pair, également devin reconnu et recherché, était ce que nous appellerions aujourd’hui un « grand serviteur de l’Etat », en l’occurrence à son époque, au service d’un grand royaume Merina en gestation qui va vite donner naissance à l’Imerina (la région centrale des hauts-plateaux malgaches) et à l’unification des anciens « royaumes combattants » pour parvenir à instaurer le Royaume de Madagascar.

Deuxième personnage du royaume du temps des rois Andriamanelo et Ralambo, son rôle fut déterminant et lui-même et sa nombreuse descendance furent à la source première des rois et reines de l’Imerina, mais aussi d’autres régions de Madagascar (notamment Sakalava, Betsileo du nord, Antemoro), l’une de ses descendantes les plus récentes, la princesse Rasalimo* , jeune épouse aimée du Roi Radama 1er (qu’il préféra à Ramavo, future Ranavalona 1ère), avait notamment donné naissance à la jeune Raketaka à laquelle le grand roi malgache octroya le droit exclusif de lui succéder sur le trône de Madagascar après lui.

Mais, le coup de force sanglant de la princesse Ramavo, devenue Reine Ranavalona 1ère, prestement poussée et aidée par ses licencieux zélateurs, en ont décidé autrement en ces terrifiantes semaines s’étalant de fin juillet à fin octobre 1828 où tous les proches du roi Radama 1er furent tous assassinés afin de mieux installer l’usurpatrice et son « régime » de terreur…Tous, sauf la princesse Raketaka, car celle-ci seulement âgée de 5 ans ne pouvait représenter aucun danger pour Ranavalona…

Andriandranando, ce grand-ancêtre paternel qui est le mien (dont mon très regretté père a perpétué la mémoire et les valeurs en ces temps modernes en créant et en présidant en 1951 « Ny Fikambanana Terak’Andriandranando » – l’Association « Les Natifs de Andriandranando » – est donc, au moins à tous ces titres et de par son exemplarité, un grand précurseur et constructeur de référence historique pour Madagascar.

Un fort évènement intervint en 1955 quand mon très regretté père réunit en notre propriété « Dieudonnée » à Antsofinondry tous les dignitaires Andriandranando (Ampanjaka – seigneurs – et autres personnalités de cette maison princière) en provenance des différentes régions de Madagascar pour y tenir une assemblée conviviale, et créer ainsi chez tous un sentiment de solidarité active au moment même où il s’engageait lui-même très activement dans la vie politique de la nation. J’étais alors un bébé, mais je sentais bien la ferveur qui animait chacune et chacun des participants, et c’était un beau moment de transport d’émotion collective de partage inoubliable et qui est toujours ancré en moi.

Fidèles à une tradition nobiliaire séculaire, les parents de mon père, fils aîné d’une fratrie nombreuse (dix enfants), lui choisirent à sa naissance le nom d’un de ses ancêtres. Ce fut Andriamihaingo, nom du dernier seigneur de Soamanandrariny (la capitale de la Maison des Andriandranando), le bien nommé Andriamihaingozaka, le « seigneur-prince élégant » (« jaka » ou « zaka » – rattaché ici à un nom – étant la contraction de « manjaka », c’est à dire « régner »).

Etant, avec mes soeurs et frère (*), investi d’un tel héritage, je ressens, avec eux et nos descendants, le devoir sacré d’en assurer la continuité dans la dignité.

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  A PROPOS DE L’ASCENDANCE DE PIERRE RAZAFY-ANDRIAMIHAINGO, MON PERE

Voir ci-dessous son arbre généalogique, dans le sens ascendant.

* A PROPOS DE L’ASCENDANCE DE LA PRINCESSE RASALIMO:

Son père, le roi Ramitraho du puissant royaume du Menabe, avait pour mère Ravorikiniandriana, laquelle descend du prince Andriamanalina, lui-même étant fils de la princesse Ramatoafotsindrindravambo qui est la fille aînée du prince Andriampoinandriana, ce dernier étant le fils aîné du prince Andriandranando, résidant à Ambohimailala.

Pierre Razafindramanana (lignée du Prince Andriandranando) et Félicie Ravaonanahary (lignée du Prince Andrianamboninolona), mes grand-parents paternels, lors de leur noces d’or le 5 décembre 1953 (ici devant leur résidence à Andohalo, haute ville d’Antananarivo).

Pierre Razafimbelo (lignée du Prince Andrianamboninolona), mon arrière-grand-père paternel, 15 Honneurs, Gouverneur principal. Il était le père de ma grand-mère paternelle.

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In fine, au plein sens du terme, je me dois de rendre ici un hommage filial plein d’amour et de reconnaissance à mes parents. Leur abnégation pour le bien d’autrui, pour le service de leur patrie et pour la défense et la promotion des valeurs partagées était totale et animée de tant de générosité.

Leurs parcours ont été exemplaires à tous points de vue. Celles et ceux qui les ont connus peuvent en témoigner.

Et assurément leur mémoire demeure et demeurera vivante à travers les générations.

(*)   Août 2021:

Depuis le 16 juillet 2021, date de son décès soudain, toute ma famille et moi pleurons mon très cher frère Gérard. Que son âme bienveillante repose en Paix là où Dieu lui a assigné nouveau domicile. Pharmacien, il n’avait jamais cessé de s’intéresser aux Sciences et son hobby était l’aviation. Nous ne t’oublierons jamais, mon cher frère ! Le 12 décembre 2021, ton corps va rejoindre tes chers parents – nos parents – et tes deux petits-frères Hervé et Philippe – nos petits-frères – au sommet de la colline sacrée de Ambohipotsy-Manankasina.

Décembre 2021:

Depuis le 16 novembre 2021, date de son décès suite à une longue maladie, toute la famille est à nouveau en deuil avec la disparition de notre très chère et aimée soeur aînée Laurence. Que son âme repose également en Paix là où pour elle également à la suite de notre très cher frère Gérard, Dieu l’a accueillie dans Son Royaume Céleste. Diplômée de l’Institut des Sciences Politiques de Paris et Licenciée en droit de l’université Paris II, Laurence avait été cadre supérieure d’une grande banque italienne dans sa filiale à Paris et d’un grand groupe d’assurance à Paris, grande sportive (volley-ball, équitation, tennis et ping-pong) et d’un caractère aussi entier qu’animé d’une aménité rare. Elle également rejoindra nos très chers parents et ses petits-frères au sommet de notre colline sacrée de Ambohipotsy-Manankasina, fief princier du clan des Andriandranando.

Pierre et Suzanne Razafy-Andriamihaingo à leur mariage à Paris en 1942. Leur ami, le grand poète et homme politique de premier plan, Jacques Rabemananjara, était leur témoin de mariage.

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Jean-Pierre Razafy-Andriamihaingo

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